
Z comme Zemmour Eric
Il n’est pas commun de commencer un abécédaire par la lettre Z, fut-il un miscellanées, du prêt à porter de la pensée, de la bien-pensance. Le mot s’entend bien sur dans son acception du siècle obscur, lequel débuta bien tardivement, en 1989. Il couvre les élites mondialisées, les bobos, les prétendus philosophes de comptoir, avec ou sans chemise blanche ouverte sur un poitrail de xoloïtzcuintle, ce chien nu mexicain, les folliculaires stipendiés, les entreprises du caca 40 et bien entendu, un système politique vermoulu UMPSMODEMECOLO où le Front national, nourrit au sein de Hayek, aimerait bien y recueillir sa part de spätzel imméritée.Z comme Z, dans le Z de Vassilis Vassilikos ; Z, Il vit, en grec, comme se doit de vivre cet opuscule.
Z comme Zorro ; mais non Zorro se taille une justice à la hauteur de son ego.
Ego, vous avez dit ego ? Et le petit Zemmour?
Ego comme ego surdimensionné d’Eric Zemmour ; avec un Z.
[…] Monsieur Zemmour vous êtes détestable dans vos boursouflures. Monsieur Zemmour, vous êtes détestable dans votre attitude de dromadaire qui reçoit un impressionnant coup de pied dans les couilles au moment où il aspire goulûment sa réserve d’eau. J’en retiens l’image de vos bajoues concavées dans vos maxillaires. Et estimez-vous heureux. Si elles avaient été convexées, vous fussiez le premier à prétendre que jamais vous ne vous vexâtes! Quoique toute réflexion faite, le concavé, par nature, mérite d’y rester… dans la cave […]
Bayrou (François)
phon. LinamixchvaldekourssJ’ai beau chercher, je ne trouve pas. C’est, je l’avoue, le dernier mot et la dernière phrase de cet opuscule, parce que je n’arrive pas à remplir ce vide sidéral de l’inpensée.
Ah si tiens! Il me vient une idée! Deux même, d’un seul coup! Comme quoi le miracle existe en écriture. Mais j’hésite entre l’une et l’autre. Que faire? Je ne vais pas livrer tout ceci à des gens pour qui le penser formaté est le quotidien! Il ne faut pas pousser Hector dans ses ressorts! Je sais cette exclamation ne veut rien dire, mais ça fait trop bien ici cette phrase à la con! Surtout pour meubler les dix lignes cons sacrées à Baille Rot U! Quoique consacrer pour le fils des grenouilles de bénitiers ça déchire grave sa race mon Françounet!
Bon allez, j’y vais; c’est bien parce que mon éditeur me le demande! Sinon, il est capable de me sucrer mes royautés!
Première idée, c’est une devinette:
Quelle était la couleur du cheval blanc du roi de Navarre trempé dans du goudron? Réponse en bas de page1. 250 gr de beurre de qualité 5 cl de vin blanc sec 3 cl de vinaigre de vinaigre blanc 2 échalotes 1 cuillère à café de poivre mignonnette (poivre écrasé grossièrement) 1/2 botte d’estragon 1/2 botte de cerfeuil 4 jaunes d’œufs Sel
-Faire fondre très doucement le beurre et le laisser tiédir dans un coin de la cuisine. -Dans une casserole, mettre le vin blanc, les échalotes coupées en petits morceaux, le vinaigre, le poivre mignonnette et la moitié des herbes. -Cuire très doucement à feu doux et réduire jusqu’à une consistance sirupeuse. Laisser tiédir en dehors du feu. -Ajouter les jaunes d’œufs et 4 cuillère à café d’eau. -Fouetter vivement en chauffant très doucement pour éviter que les jaunes cuisent. Retirer la casserole du feu de temps en temps. Fouetter pendant 10 minutes jusqu’à ce que le mélange devienne mousseux et assez compact. -Incorporer hors du feu le beurre fondu en évitant de mettre l’écume et le petit lait. Fouetter comme pour une mayonnaise. -Saler et ajouter la moitié des herbes hachées. -Déguster aussitôt ! 1. Ventre saint gris! Il était blanc car en ce temps là le goudron n’existait pas! Et pan sur le bec!Deuxième idée: Recette de la sauce béarnaise.
Ingrédients: Pour 6 personne(s)
Préparation
A venir
Ils sont toujours aussi c.
A venir
Introduction
(Ouille !)
Oncle François-Marie, vous me faites l’immense honneur et l’incommensurable plaisir de me convier à ce voyage en votre compagnie chez la reine de Prusse, Angela 1ère. Sa Majesté vous surprîtes également de ce que vous m’avez baillé à Ferney. Il est tant vrai que l’austère pays où elle naquit ne se prête pas à la philosophie.
N’avez-vous crainte qu’elle ne vous garde cette fois-ci en ses rets et ne vous fasse consumer à petit feu, à l’instar de ses ancêtres teutoniques ? Je ne puis vous cacher mes craintes mais aussi ma joie de vous avoir plus longs moments en compagnie. Et cela m’est bonheur de vous voir revivre en ce carrosse brinquebalant dont je viens de compter notre quatorzième passage en relais de poste. Cependant, pardonnez-moi mon oncle, mais les lits de ces relais nous laissent peu de répit tant ils sont habités et nous forcent à avoir mains lestes pour grattements et démangeaisons assurés à chaque nuitée !
Lors de notre arrivée au prochain relais, je ne manquerai pas de promettre moult coups de bâton à l’aubergiste s’il ne nous livre bonne lierie et draps maculés ; sans compter un repas et bon pinot gris de cette Suisse en accompagnement de soupers, rots et mignardises. Pour peu qu’une accorte servante…
Mais voilà que je me rends compte que je parle trop. Pardonnez mon oncle à ce neveu qui ne sais que barjavasser et ne point laisser de cesse à vous écouter.